Adieu LeonardAcrylique, 16 x 20 po.
2017, VENDUE Exposition : Du 29 septembre au 25 novembre 2018, Musée de l'Hôtel des postes, Victoriaville Inspiré de l’œuvre musicale de Leonard Cohen Chansons interprétées par différents artistes, voir https://goo.gl/DsKdAG Lors du concert TOWER OF SONG : HOMMAGE À LEONARD COHEN |
Adieu Leonard
Démarche artistique
L’œuvre fut réalisée le soir de la diffusion radiophonique de TOWER OF SONG : HOMMAGE À LEONARD COHEN, un concert élaboré par Adam Cohen pour souligner le premier anniversaire de la disparition de son père où ses plus grandes chansons se sont succédé, interprétées par des artistes célèbres.
Dès le début du spectacle, une impulsion irrésistible m’a poussé à sortir mes couleurs et mes spatules pour peindre sans contrainte, sans idée préconçue, de façon totalement spontanée sous l’inspiration de cette musique. Il en a résulté une œuvre abstraite à laquelle j’ai ajouté la silhouette de Cohen rappelant la photo de l’album Songs from the Road.
L’œuvre évoque le départ du poète vers l’au-delà. Sa silhouette évanescente laisse une trace lumineuse dans le maelström de couleurs de l’univers complexe de l’humanité. Cohen devient ainsi la « lumière dans la brèche de toute chose », comme il l’exprimait si bien dans sa phrase célèbre : « There is a crack in everything, that’s how the light gets in. ».
En entrevue à l’émission Le Point en 1985, Leonard Cohen confiait : « On a toujours l’impression qu’on n’a rien à dire. On prend la guitare et on n’a rien à chanter, mais grâce à Dieu ou quelque chose, ça commence, ça arrive et on recommence. ».
C’est justement ce qui me fascine dans la création. Cet étrange processus à l’origine de toute chose, qui construit ce monde d’où émerge la conscience. Lorsque je dessine ou je peins, j’ai le sentiment profond d’être emporté par ce processus. Je m’y abreuve et de cet élan se dégage un mouvement intuitif et libre.
Dès le début du spectacle, une impulsion irrésistible m’a poussé à sortir mes couleurs et mes spatules pour peindre sans contrainte, sans idée préconçue, de façon totalement spontanée sous l’inspiration de cette musique. Il en a résulté une œuvre abstraite à laquelle j’ai ajouté la silhouette de Cohen rappelant la photo de l’album Songs from the Road.
L’œuvre évoque le départ du poète vers l’au-delà. Sa silhouette évanescente laisse une trace lumineuse dans le maelström de couleurs de l’univers complexe de l’humanité. Cohen devient ainsi la « lumière dans la brèche de toute chose », comme il l’exprimait si bien dans sa phrase célèbre : « There is a crack in everything, that’s how the light gets in. ».
En entrevue à l’émission Le Point en 1985, Leonard Cohen confiait : « On a toujours l’impression qu’on n’a rien à dire. On prend la guitare et on n’a rien à chanter, mais grâce à Dieu ou quelque chose, ça commence, ça arrive et on recommence. ».
C’est justement ce qui me fascine dans la création. Cet étrange processus à l’origine de toute chose, qui construit ce monde d’où émerge la conscience. Lorsque je dessine ou je peins, j’ai le sentiment profond d’être emporté par ce processus. Je m’y abreuve et de cet élan se dégage un mouvement intuitif et libre.